Tant qu’à reconstruire cette page en repartant de zéro, autant vous donner quelques détails sur la façon rigolote avec laquelle la passion de la photographie est venue s’installer dans ma vie.
(Et on va faire ça en illustrant avec des photos qui m’ont marqué…)
Je travaillais au sein d’une entreprise qui fabriquait des photocopieurs (et aussi des appareils photo), quand le 6 octobre 2009 (merci les exifs) j’ai eu l’opportunité d’obtenir un laisser-passer de photographe pendant les semaines de la mode à Paris.
Ce jour là, je me suis battu avec une trentaine de photographes de mode, et j’ai découvert à quel point ce métier de photographe était marrant.
Piétiné, en sueur, sur la pointe des pieds dans les 20cm2 que je m’étais attribué sur l’estrade des photographes, l’oeil vissé dans le viseur d’un EOS1DMK3 équipé d’un 200mm f2 dont le diamètre était plus gros qu’un ballon de handball.
Ce mannequin de JCC (Jean-Charles pour les intimes) fit un petit sourire à notre attention (surtout au collègue japonais qui gueulait à mes côtés « kokoni kokoni »), et là… je vis clairement que ce sourire m’était destiné.
(Enfin bon, je trouve que cela fait une belle histoire pour illustrer mes débuts de photographe, mais je sais qu’en vérité le mannequin faisait juste son job, comme les 30 sur-excités à mes côtés…)
A suivre…