Sous une pluie fine et régulière, Raphaël se concentre pour un putt à 10 mètres.
Pendant ce temps là, le photographe allongé et trempé jusqu’aux os garde l’oeil dans le viseur pour ne pas rater l’instant magique.
C’était en 2009, je n’étais pas encore pro mais je goutais aux plaisirs de la photographie de sport.
Et pas n’importe quel sport.
4 ans plus tard, une de mes photos de Raphaël Jacquelin sera dans le Parisien à l’occasion de l’Open Alstom 2013…